Ils ne manquent pas d'un certain humour les racistes du Vlaams Belang (ex vlaams Blog), dignes héritiers de leurs maîtres à penser nazis.
Trois bourgmestres francophones de communes à "facilités" dans la périphérie bruxelloise ont décidé de briser le tabou qu'il leur est fait de parler français lors des séances communales, du moins de permettre aux conseillers élus de s'exprimer dans la langue de leur choix comme le prévoit la loi.
Une rage folle a saisi nos nazillons et, président du V.B. en tête, ont fait tout leur possible pour faire cesser la scandale inadmissible à leurs yeux qu'est de respecter la liberté. Pour une fois, la police a fait respecter la loi !
Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, la minorité opprimée (la francophone) ne comporte que près de 70% de la population !
Que se passerait-il si ces vlaams enragés devaient règner en maîtres ?