Ah l'ivresse du pouvoir...Ah l'odeur des euros facilement gagnés...Ah la gloire d'avoir ses photos dans la presse...Ah que c'est bon ne plus être le numéro 2 de son parti....
Et on est prêt à tout pour arriver. Faut dire qu'est une spécialité chez les "libéraux". Qu'on se souvienne de Jean Gol : pour arriver à un poste lucratif, il n'a pas hésité à renier tout son passé . Il n'a pas fallu beaucoup de temps au trotskiste qu'il était (fallait le voir et l'entendre à l'époque de la guerre du Vietnam) pour devenir un bon gérant de la bourgeoisie.
Il y a eu aussi Louis Michel qui n' a pas hésité à "rosir" son libéralisme de façon à gagner quelques voix populaires.
Donc rien d'étonnant chez Didier Reynders qui se met à plat ventre devant les exigences flamingantes au seul nom de envie démesurée du pouvoir . Il n'hésite pas à diviser les rangs francophones, à trahir l'électorat du FDF (qui fait partie pourtant du MR).
Plus de Belgique...déclare-t-il... oubliant que cela signifie plus de Vlaams Belgïe !
Nous nous en souviendrons !
Tchantchès