Depuis les élections de juin, un rabattage médiatique alieu en Flandre contre la Wallonie : on y fait notamment miroiter aux travailleurs flamand que "sans le Wallons ils gagneront plus d'argent". Cependqnt il est certain que les travailleurs flamands et wallons n'ont rien à gagner à une logique de scission qui, il faut le rappeler, est voulue par le capital.
Si on devait diviser le pays le pays, tous les travailleurs seraient perdants : le capital veut profiter de la division du pays pour avoir moins d'Etat c'est-à-dire moins de politique redistributive.
La mentalité constatée en Flandre suit une même évolution en Wallonie avec la montée du MR . Reynders veut nous faire avaler que le problème sont les impôts et les cotisations sociales . Diminuons les, clame-t-il, et le pouvoir d'achat augmentera . Mais ces cotisations; c'est aussi une forme de pouvoir décaht qui revient aux gens sous forme de remboursement des soins de santé par exemple.
Cette évolution vers la droite en Wallonie est dûe au fait que le mot "socialisme" est galvaudé . A'heure actuelle il y a confusion entre le Socialisme comme vision de société et les "affaires" : c'en est arrivé à un tel point qu'on n'ose même plus se réclamer du socialisme.
Face aux exigences flamingantes, plus nombreux sont les hommes poliques wallons qui revendiquent plus d'autonomie wallonne, ou même une constitution wallonne. Mais le font-ils par opportunisme électoral ou dans une logique de défense d'un fédéralisme de coopération et de solidarité ?
La droite prépare une série d'attaques contre les travailleurs, et Leterme envisage le pire en matière de droit de grève et service minimum dans les services publics (avec la bienveillante compliciyé de certains ténors du PS.
Il est bon de se montrer ferme sur la défense des mécanismes de solidarité fédéraux ! mais nous avertissons les partid flamingants : Nous ne vivons pas dans la peur : s'ils veulent la scission, le prix à payer sera élevé, plus élevé que pour nous Wallons . Mais rappelons le encore : seul le capital en profitera !
Et si on doit arriver à la séparation, tant pis : nous serons beaucoup plus libres de lutter contre ce capital !
Tchantchès