|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Editorial ] [ A mon avis ] [ Point de vue ] [ Vivre en Wallonie ] [ humour ] [ Réflexions ] [ De bric et de broc ] [ Bon à savoir ]
|
|
|
|
QUELQUES MOTS D'EXCUSE
12/12/2007 14:08
Non, non : je ne suis pas mort.
Mais par contre mon ancien PC a rendu l'âme et c'est ce qui explique mon silence de ces derniers jours. J'ai donc procédé à l'enterrement de mon vieux matériel, me suis consolé en buvant quelques bons petits "pèkèt". Je me suis procuré de quoi le remplacer, j'ai baptisé le nouveau PC, toujours avec du frisse pèket et me voici de retour au pied du Perron.
Compte tenu des évènements dans notre pays, je vais avoir beaucoup de choses à vous dire.
A la prochaine .
Tchantchès
| |
|
|
|
|
|
|
|
ALLEZ L' O...ivier M...aingain !
26/10/2007 10:52
C'est plutôt mal vu en Belgique de parler français . Le burgmeester des Foutons (j'ai pas envie de dire Voeren) interdit l'usage de la langue de Voltaire aux conseillers communaux...Faut dire qu'il a été élu grâce aux voix des Hollandais domiciliés dans sa commune !
Le Ministe flamand compétent (en quoi svp ?) lui refuse de ratifier la nomination de bourgmestres de certaines communes de périphérie bruxelloise : motif, ils sont franophones et veulent faire respecter mle droit de s'exprimer dans sa langue . Ce ministre oublie que ces bourgmestres ont été élus par des électeurs francophones. Mais pour un Flamand, 60 à 70% de l'électorat ne représente rien par rapport au doit germanique du sol !
Aussi Olivier Maingain, président du FDF et représentant MR aux discussions de l'orange bleue annonce fort et clair que si les nominations des bourgmestres francophones n'ont pas lieu, il retirera ses billes du jeu !
Allez....l' Olivier Maingain, Tiens bon...même si cela ne plait pas à Reynders !
Tchantchès
| |
|
|
|
|
|
|
|
LE CRIQUET EST AISE...
18/10/2007 13:43
Je vous ai déjà signalé que les députés wallons sont plutôt enclins à ne pas fréquenter l'hémicycle de Namur.
Mais quand on sait à quoi ils passent leur temps, on comprend mieux qu'ils préfèrent aller boire une chpe au bistrot du coin au lieu d'écouter les élucubrations de certains de leurs collègues.
C'est ainsi qu'un député MR (la bande à Reynders) a fait une remarquable intervention sur les espèces en voie de disparition en Wallonie : étaient particulièrement visés les ratons-laveurs (chers à Jacques Prévert) et les criquets belges (ils ont en effet les pattes noires, jaunes et rouges !).
Et bien, bon peuple, rassurez-vous tout au moins pour le criquet : il se porte bien, notamment dans les provinces de Namur et du Luxembourg; il aurait même tendance à se développer vers le nord .
Combien gagne un député ? Moi, je veux bien me présenter, j'ai encore des questions à poser au sujet du criquet . J'aime la pèche à la ligne : si comme esche (appat) je mets un criquet, il est valable pour quel poisson ? Répondez-moi vite SVP !
Tchantchès
| |
|
|
|
|
|
|
|
QUI A PROFITE DE L'AUTRE ?
06/10/2007 10:48
De nombreux politiciens flamands et la quasi totalité de la presse flamande n'ont qu'insultes pour la Wallonie et ses travailleurs . Oubliant que cette Wallonie a pendant plus d'un siècle et demi produit la plus grande partie des richesses de la Belgique, ces Flamands accusent les Wallons d'être des "profiteurs". Voyons donc qui a profité de l'autre.
Fin des année 70, le ministre des faffaires économiques, le flamand Willy Claes, prit une part impiortante à la mise au moint d'un programme de démantement de la sidérurgie wallonne ("les accords d'Hanzinelle" : les victimes annoncées étaient les entreprises de Charleroi et de Liège et ce, au profit de Sidmar en Flandre (cette SIDérurgie MARitime avait été crée près de Gand grâce à d'importants investissements wallons).
On connâit la suite : de restructuration sen plans d'assainissement, des usines disparurent, les fabricats furent transférés ailleurs . La classe ouvrière wallonne, et avec elle l'ensemble de la population des bassins industriels connurent un appauvrissement croissant . Et en plus cette catastrophe sidérurgique wallonne accompagnait la fermeture des derniers puits de charbonnage, alors que depuis 1967 les charbonnages campinois bénéficiaient d'énormes injections financières publiquses tandis que la sidérurgie wallonne ne pouvait compter que sur des pr^tes et avances récupérables. Et ce financement était conditionné par le redressement de l'industrie sidéurgique (30.000 emplois) avec participation du privé tandis qu'il était assuré par l'Etat seul pour les charbonnages de Campine (20.000 emplois).
Autre manoeuvre pour rouler la Wallonie : en 1978 fut créé un "Fonds de rénovation industrielle" mais bientôt on s'aperçut que ces fonds étaient utilisés par l'Exécutifs flamand pour soutenir des entreprises en difficultés . En 1982, Marc Eyskens proposa de "geler" le fonds et, en attendant, les projets introduits seraient réalisés et bizarre, vous avez dit bizarre ?, tous étaient flamands avec comme résultat que la Falndr avait bénéficié de 65% des interventions du Fonds .
Tout cela, on nous le cache soigneusement, politique flamande obligeant.
WALLON, REVEILLE-TOI !
Tchantchès
| |
|
|
|
|
|
|
|
QUE NOVELES ?
27/09/2007 11:34
On connait la chanson de Laurent Voulzy "Quand vient la fin de l'été..." . On pourrait répondre : "...Alors arive l'automne..." et même en revenir à ce bon vieux Jacques Prévert : " Les feuilles mortes se ramassent à la pelle !".
En tous cas, dans ce pays qui se disloque tout doucement, rien ne va plus . L'orange" bleue pourrit chaque jour un peu plus, l'explorateur ne sait où aller, le Roi en a marre ....
Les exigences flamandes existent depuis très longtemps mais n'ont jamais été aussi agressives que maintenant . Dès les premiers palabres pour la formation d'un gouvernemnt fédéral, les divergences entre Flamands et Francophones sont apparues. Les Flamands voulaient au minimum arriver au confédéralisme, les Francophones restant soumis au fédéralisme.
En choisissant le confédéralisme, les Flamands savent ce qu'il veulent à savoir vider la Belgique de toute sa substance avant d'arriver à l'indépendance. Ce à qui ils ne s'attendaient pas, c'est se heurter pour la première fois à un niet catégorique des Franconphones. De plus, toutes les menaces flamandes ont enfin sorti les Wallons du sommeil dans lequel ils se trouvaient. Et ces Wallons commencent à se dire de plus en plus nombreux "Et pourquoi pas le confédéralisme ou l'indépendance ?".
Mais voilà ce réveil ne plait guère à certains Bruxellois qui ont le toupet de regretter les chamailleries entre francophones et de clamer bien haut que le solidarité entre francophones est obligatoire . Certes, la solifarité est impérative mais elle ne doit pas être à sens unique : les Wallons ne sont pas là pour maintenir le pouvoir de tout et de rien dans les mains de Bruxelles .
N'oublions pas que la wallonie dispose de nombreux atouts : position géographique au centre de l'Europe, notre eau que nous ne valorisons pas assez, notre main-d'oeuvre de grane qualité, de secteurs d'activvité économique performants (aéronautique, bio-technologie...) sans oublier une évolution démographique positive...
Il nous faut donc savoir prendre nos responsabilités : si nous nous séparons de la Flandre, ce ne sera pas pour se mettre pieds et mains liés sous la "direction" bruxelloise . "LE COQ EST SORTI DU POULAILLER, IL N'Y RENTRERA PLUS ! Qu'on se le mette bien en tête !
Tchantchès .
| |
|
|
|
|